On avait dit a Lowel qu'elle serait pas seul dans la cellule malgré ses ..."problèmes" sociaux...
Après quelques jours dans cet asile, elle commencait à avoir l'habitude des gardes, de l'odeur, du manque de lumière... Elle commençait même a êtrer à l'aise dans les couloirs sinistres de l'établissement
Une fois rentré de la salle de jeux, elle se sentait toujours fatigué mais elle s'était un peu reposer, et elle ne pouvait plus dormir.
Les gardes qui l'escortait l'avait bousculé dans la cellule avec fermeté mais... sa aussi Lowel avait pris l'habitude.
Elle regardait ces "gros bras" s'éloignait avant de faire les cent pas dans cet immense cellule (à vrai dire, la plus grande)... On pouvait faire beaucoup de chose dans cet "salle" si l'on ignorait le manque d'intimité qu'offraient ces grandes vitrines crasseuses.
Lowel avait remarquait l'homme qui patrouillait dans le grand couloir...Elle lui adressa un "Bonjour!" amical, mais il ne répndit qu'avec un geste brutal montrant son antipathie envers la jeune femme en frappant la vitre d'un coup ferme de sa matraque. Mais malgré la puissance du coup, la vitrine ne broncha pas, ne silla pas! Quelle résistance... Puis le garde reprit patrouille sans dire un mot...
Lowel voulait alors se promener, et pour la 1er fois, ce n'était pas les gens qui voulait la voir mais elle qui voulait voir les gens... Ironie du sort, elle était seul dans la cellule alors que c'était celle qui contenait le plus de patient.
Lowel hurla alors à travers les parrois de verres de sa cellules
"Y'a quelqu'un?"
Le garde qui faisait sa ronde montra un sourire qui exaspéra Lowel... elle espérait que quelqu'un lui réponde où qu'un patient entre en cellule pour pouvoir ne serait-ce que parler... Elle se fichait complètement de se faire des amis mais elle voulait tout simplement parler...