Température moyenne : 19 °C

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Le soleil était à son zenith à cette heure-là, parmi les allées du jardin français, les effluves des roses qui ornaient une orangeaie couvraient d'un voile parfumé cet espace harmonieux, un couple de mésanges bleues traversa un chemin bordé de magnifiques scupltures de buis tracées dans un socle de marbre blanc et entourés de petits lilas (qui à cette saison fleurissaient) mauves plantés à même les gravillons ocres. Un long chemin couvert par des cyprès importés de Grèce menait un petit kiosque en fer forgé et au toît de bois sombre, il dominait l'étendu les jardins et se postait au milieu d'un parterre de pensées jaunes et violettees, formées par des pétales aux traits élançés et élégants. Dans tout ce charme botanique où regnait un atmosphère bucolique et presque même idillyque, le Docteur Van Helsing se promenait parmi ces allées dans l'espoir d'apaiser ses pensées obscures et opressantes. Il s'asseya sous un peuplier dont l'extrémité ondulait avec le vent d'Ouest:
"Joker, le Joker..."
Il resta longuement à ruminer ces paroles en boucles, oubliant les étendues de tulipes et de jacinthes qu'offrait cette partie-çi du jardin, il s'abandonna dans les souffles paisibles de ce vent anodin pour cette époque. Il s'adossa contre le dos du banc de façon à être le plus alongé possible et prononça sans but précis :
"Joker, le Joker..."
Les longues années d'expérience de réputé médecin lui avait conféré un certain sang-froid, une certaine neutralité à l'égard de son milieu professionel stressant et déprimant, mais pour la première fois depuis déjà cinquante ans, Alexandrov eut une inquiétude, un sentiment, une peur, enfin quelque chose comme cela disait-t-il...
Il se releva et traversa un chemin de cerisiers, il contourna une chesnaie et enjamba une placette ornée d'une fontaine du Second Empire, il prit par un immense portail grinçant où on pouvait y lire "French Garden - Jardin Français" et monta dans la berline qui était garée sur le trottoir, à bord il s'afaissa sur la banquette arrière (un majordome conduisait) et reprit le sérieux et la froideur qu'il avait d'habitude, déjà remis d'avoir eu un sentiment humain.
Le véhicule quitta la banlieue paisible qui avait été batîe autour du jardin puit tout simplement la ville, il prit une route déserte menant à un première à nulle part, puis tout en avançant un batîment sombre aparraissait, surgissant de terre, et réléva un endroit presque maléfique:
"Arkham Asylum : 1 Miles"
Il se passa un temps très bref pour que Van Helsing arriva devant l'édifice de pierre sombre, même le trottoir et les arbres avaient un teint sinistre et cruelle, peut être que le soudain changement de temps avait affecté l'êtat des lieux. Van Helsing prit une passerelle infestée de caméras et qui n'avaient rien avoir avec l'époque de la bâtisse principale, en effet cette passerelle ainsi que toute une aile et l'entrée avaient étaient construits ultérieurement et contrastaient par leur modernisme et leur impersonnalité. Arrivé au bout de ce tunnel de verre, Alexandrov s'arrêta devant une porte blindée et insurmontable, il se pencha légèrement vers la droite, et avança sa tête en ecarquillant ses yeux gris, une voix robotique annonça alors :
"A. Van Helsing, Médecin, Entrée Validée"
La porte s'ouvrit dans un silence glaçiale et Alexandrov continua vers un escalier qui cotoyait un couloir métallique, du fond de ce corridor des cris à glaçer le sang de n'importe quel invidu (Van Helsing ne faisant plus partie des gens ayant quelque chose "d'individu" mais plutôt d'une sorte de robot), Van Helsing monta les escaliers en ne marquant aucun signe d'expression(ce qui faisait de lui un homme peu ridé) et arriva au premier étage, à cet instant quelqu'un le bouscula dans un bruit de froissement et de hâte...

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(si tu veux que je pars je ferais vite... je me cherche juste un poste...)

Suite à la bousculade, Jeckel tournaoya un peu... Étourdit, mais encore bien équilibré sur ses jambes, il rigola doucement avant de reprendre son calme temporaire... Le Londonnien regarda doucement le nouveau docteur qui, lui aussi, hanterait les couloirs bruyant.. Il en chuchota un peu, souriant aimablement.

- ''Un autre nouveau, Jake... ''

Il avait comme toujours cette étrange marionnette... L'apparence d'un gamin de 13 ans, une poupée donnant plus impression à un humain qu'un jouet...

il semblait y tenir énormément.. Mais comme un enfant sa curiosité semblait forte... Il fixait le nouvel arrivant, le scannait dans son sens... voulant tout savoir avant que les questions ne se dévoilent...

- '' Qui es-tu? ''

Le rouquin fixa un peu plus les yeux du nouveau psychiâtre, le regard particulièment qui affichait... autant enfantin, curieux et hanvotant... bien qu'il ne contrôller l'hypnose... qui savait ce qui pouvait arriver...

Jeckel se demandait tellement de chose... mais le venu d'un nouveau lui soutirait toute concentration à autre que ses tâches... il n'était pas l'air non plus... la perfection de ses trait par son choix de ne pas usé de sentiments paraissait, mais c'était tellement beau... Il ferait s'en aucun doute une magnifique poupée de cire...

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(Non, t'inquiète pas, au contraire!)

Alexandrov ramassa la malette qu'il avait fait tombé et réajusta son complet. il examina attentivement cet inconnu, ses nombreuses années à Arkham lui avait valu d'être connu par tout les patients, mais ce visage qui se postait devant Van Helsing ne figurait pas dans la longue liste des aliénés que le médecin avait suivi au cours de sa vie, peut-être était-il nouveau... La curiosité fut un mot bien modéré pour Alexandrov (comme tout les sentiments d'ailleurs), il s'était dit que cela était une invention des scientifiques afin d'éviter le commun des mortels de potentielles découvertes révolutionnaires, pour la première fois il goûtait à cet état d'esprit, décidement, aujourd'hui ce révélait sous un jour de surprises :
"Alexandrov Van Helsing, êtes-vous un patient? Car dans ce cas il est strictement interdit d'atteindre les étages supérieurs de l'asile. Comment vous nommez-vous?"
Alexandrov insista sur le "vous" final, de façon à exprimer son mécontentement à l'égard des paroles un peu trop amicales de son interlocuteur, personne dans sa vie l'avait tutoyé et cela de ne changerait pas aujourd'hui.
Alexandrov observa une nouvelle fois l'inconnu, il semblait bien jeune pour avoir atteri dans cet endroit sordide, il avait des traits presque enfantins, un visage d'un adolescent pur et innocent, mais la profondeur de ses yeux exprimait autre chose, quelqu'un d'autre...
Un certain silence régna dans le court lapse de temps qui s'éparait la question de Van Helsing et la réponse de l'inconu, les néons clignotaient rapidement un peu plus loin, près de la salle de maintenance, Van Helsing fixa son interlocuteur...

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- ''...Et ça reprends... ''

fit-il en observant les lumières un cours instant... Puis il remit son regard sur le docteur... la malice de celle d'un enfant mesquin se glissa un quart de secondes dans son regard, puis s'abandonna...

- '' Pardonnez-moi, Monsieur... Je suis fort impoli... ''

Commença-t-il avant de mimiquer une révérance anglaise... Il se redressa, toujours droit... parfait, sa posture, son allure... la perfection semblait une pure obsession chez lui...

- '' Jeckel Drocell est mon nom, et voici mon frère, Jake Jeckel... ''

Continua-t-il en désignant l'étrange marionnette... Il eut un petit sourire amical, mais il ne fut pas long qu'il reprit son air neutre...

- '' Si vous demandez pourquoi je suis ici, la raison est simple... je vais le reporter... les gardiens en ont un peu marre de le faire à chaque matin... je me suis proposé, voilà tout... ''

La question de lui demandez s'il était patient était évidente, il portait l'uniforme des asilés... toutefois, son uniforme était rapiessé de nombreuses retailles de tissus un peu partout sur l'ensemble... et les pantouffles habitueles? remplacer par des bas fait sur mesure... Comment avait-il passé ses actions sous le nez des gardiens bien que tout cela était... plus d'évident...?

- '' Malgré que je ne voit pas l'interrêt à le reporter... il va revenir ce soir... ''

Il semblait convainçu, comme un enfant croyant au père noël... Mais encore fallait-il l'avoir vu pour y croire...

- '' Vous savez ce qui est marrant, Mr. Helsing... j'ai l'impression de me trouver dans un conte.. vous savez... Dracula... Vous devez l'entendre souvent... ''

Il semblait parler lorsque un sujet lui traversait l'esprit... rien de plus... Mais ses manches refoulées de son uniformes montraient des avant bras couvert de coupures, anciennes et plus fraîches.... mais aucune ressantes...

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Alexandrov savait parfaitement comment s'y prendre, il savait les gestes, les mots, les regards qui conforterait le patient et le ramenerait à un état dit de "parfaite maîtrise". Il eut un sourire forçé, vide mais qui à première vue exprimait un attachement, un intérêt, il tapota l'épaule du jeune homme et prit une voix qui semblait celle des professeurs dans les petits écoles :
"Dîtes-moi Jeckel, pourquoi pas faire connaissance avec votre frère de mon bureau? Je pourrais vous raconter un tas de secrets sur le Prince des Vampires... Aimez-vous Mozart?"
Il adressa un sourire équivalent au pantin, dans les cas de dédoublement de personnalité il fallait à tout prix prendre en compte les personnages inventés, Van Helsing reppoterait ses ambitions à plus tard, son insctint de médecin avait pris le dessus!
Il emmena Jeckel au rez-de-chaussée, ensemble il traversèrent bon nombres d'ailes psychiatriques avant d'arriver devant un porte en bois où siégeait un plaque dorée au nom d'Alexandrov. Le bureau du Docteur était personnalisé à sa manière : un parquait ciré recouvrait totalement la pièce, les murs étaient tapissés d'un motif vert au l'allure d'Hollande et de tulipes encerclaient de plainthes du même bois que le sol, une immense bibliothèque voilait tout la façade en façe d'une fenêtre victorienne au rideaux écossais. Les livres qui composaient l'imposant mobilier parlaient de médecine, de psychiatrie, de relations sociales et humaines, de maladies mentales et même de vampirisme. Au milieu de tout cela un tapis épais aux imprimés de très grande qualité étouffait sous un monumentale bureau en ébène, assorti à la chaise cachée derrière lui, et accompagnait d'un globe terrestre et d'un phonographe cuivré. Alexandrov s'avança et parmi toute la paperasse qui envahissait son plan de travail, rammasa un vinyl à la couvertue jaunie par le temps, il sortit le contenu et le posa sur l'appareil en déposant une pointe de diamant sur le disque, une agréable symphonie d'Amadeus retentit dans l'espace, donnant à l'endroit un soudain charme:
"Aimez-vous?"

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Il suivit sans protestation, il était relativement calme et docile... comme toujours en fait... Il suivait l'air provenantn du vényl, preuve qu'il connaissait bien... Le rouquin regardait la pièce et ses allentours avec facination, il avait tout vu cela certes... mais jamais ensemble...

- '' Vous avez beaucoup voyager? ''

Ses yeux bleu clair se promenaient d'un objet à l,autre... il déposait Jake sur une chaise, pour qu'il soit assit, la marionnette tomba légèrement... Il caressa les livres et les étagères, curieux de nature... ses doigts glissait avec une habitude, comme s'il avait normalement des bagues ou quelques chose aux bouts de ses doigts.. Il regardait le travail, remarquant chaques imperfections...

- ''Ceux qui ont fait cela n'ont pas mit le temps complet à la finition... et... ''

Il ne fesait qu'une remarque... mais savait-il au moins de quoi il parlait? Qui pouvait savoir... Jeckel traversa la pièce et observa autres choses... Les tissus semblaient beaucoup l'interresser, ainsi que les fabrications artisanales...

Un enfant véritable dans un magasin de sucrerie...

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Le cas de ce patient semblait intéresser au plus point Alexandrov, il sortit par une petite porte en bois dissimuler derrière un petit palmier sombre et ressorti avec une grande malle (qui lui posait bien des problèmes), il la posa dans un effort herculéen sur toutes les feuilles qui jonchaient sur le bureau, souffla sur la fine pélicule de poussière qui s'était accumulé et dégrapha les sangles qui tenait la boîte, à l'intérieur se trouvait une quantité très cosmopolite de souvenirs, de cartes, d'objets ; Il y avait un petit boudha de jade, une amphore grecque, un carte de la jungle congolaise, un bonnêt phrygien, des autocollants d'Australie, un petite Tour de Pise enfermée dans un boule en verre, des dollars, des euros, des pens, des yens, des rios, des kimonos, des poupées russes et même un grand fragment d'une pierre aussi blanchâtre que la Lune... Van Helsing n'avait jamais sorti cette malle pour un patient, et encore moins pour un patient qu'il en connaissait pas, le fait qu'il n'ai jamais eu d'enfants lui avait créer un certaine curiosité, une certaine affection pour ce jeune homme, il le regarda arpenter la bibliothèque et lui dit dans un souffle rapide, achevé par le transport de la grosse malle:
"Viens voir si tu veux, je vais pouvoir te conter mes aventures..."
Alexandrov se rendit compte qu'il s'était mit à le tutoyer, il espéra que celui-ci n'avait pas remarquer ce soudain geste de familiarité et changea vite de sujet :
"Vous savez, ces hommes n'ont pas eu une vie facile, ils ont délaissé toute vie sociale pour le Savoir, la Science.."
Il avait prit des airs de discours, il eut un sensation étrange, il préféra s'assoir et s'essuyer le front, il avait compris une chose, une simple chose après cinquante ans de loyaux services : Il était comme eux.

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Jeckel regarda la malle... et sans en avoir la réponse... il donna la date de la fabrication, chaque objet qu'il voyait dans la malle avait un nom, un pay et une date... son regard se promenait rapidement... il ne touchait pas, mais semblait deviner par la disposition ce qu'il y avait en dessus...

Un à un, il décortiquait les morceau... il se souvenait de renseignements comme la ville, le nombre d'habitant, le pays, l'année de confection, la méthode de fabrication, le matériel... il décomposait tout ce qu'il voyait...

il l'avait aussi fait avec la bibliothèque et les autres artiques... mais il chuchotait... Ce n'était qu'à cause de sa proximité que le docteur pouvait l'entendre...

Il se mit plus emplement à l'étude des acticles, les touchant avec délicatesse, ses doigts solides emplis de mesure délicate sous des gestes calculateurs et précis, souvent règler au quart de tour...

Puis, il tomba sur un pendantif, ses yeux s'écartillairent, comme stupéfait... En un éclair, il se retourna vers jake et examina celui qui était autour du cou du pantin et revint à la ruée vers le psychiâtre...

- '' Où avez-vous où ça!? ''

Le volume de sa surprise n'était que légèrement plus élevé.. il y avait aussi un étonnant mélange de soucis, haine et tristesse... Malgré le ton magoritairement neutre et puis vive de sa voie...

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Ce soudain étonnement fit réveiller Van Helsing qui examinait attentivement de précieuses reliques apportées de Chine Occidentale, il s'approcha du pendentif et mit ses lunettes aux verres ronds qui étaient accrochées à son cou, il remua ses lèvres cachées par sa moustache puis fit une moue perplexe, il fit signe à l'enfant d'attendre et partit devant sa bibliothèque où il trifouillait un ouvrage particulier, il tomba enfin sur "Egypte Ancienne Volume 12" puis revint vers Jeckel :

"Voyons voir, si mes souvenirs sont juste, page 589... Voilà! Le scarabée de Jade de Faréon III ! Hum..... Oui........Hum.........Hum...............Voilà!"

Il montra l'épais document à l'enfant est lu à haute voix :

"Le scarabée de Jade fut trouvé à la découverte des tombes de Faréon et de Simsès par l'explorateur hollandais Alexandrov Van Helsing, d'après les études menées par le laboratoire d'archéologie du British Museum, ce pendentif de Jade daterait de l'ère pré-Kéops soit avant les la construction des pyramides, on sait peu de choses si ne n'est que c'est la sculture de Jade trouvée pour la civilisaition egyptienne, les seuls hieroglyphes qui mentionnent ce bijou désigneraient la fabrication d'un bijou exactement semblable à celui-ci et qui pourrait être sous la forme d'un autre animal, les dessins d'après peuvent être compris différement:
'Si les pendentifs sont réunis, alors la chose prendra vie'
OU
'La Chose prendra vos vies à la réunification des pendentifs'
Journal de Bord de l'explorateur Horatio Van Gutvenmeil, date inconnue."

Interné Absent Messages : 178 Date d'inscription : 02/11/2009 Age : 34

(dsl du retard... j'étais à l'hospital)

Jeckel regarda jake un moment, puis eut une mine contrarier...

Il ne veut pas vous la donner... et je comprends.. moi non plus je veux pas...

sa réponse fut automatiquement suivit d'un sourire alors qu'il agrippa le médailklon dans le coffre du psy...

mais je veux bien prendre celui-ci...

avec précausion inouie, il manipulla le pendantif et l'examina... se tortillant habillement si Mr. Hellsing essayait de récupéré son bien... le fait même que jeckel était grand et agile n'avantageait pas le psy si son patient étirait les bras vers le haut...

que voulez vous dire par... la chose prendra vie?

demanda-t-il sous un ton un peu détaché...

(dsl j'ai pas beaucoup d'inspiration)